Les 5 quatre films fantastiques, classés – y compris celui Marvel ne veut pas que vous voyiez

Il est remarquablement difficile pour Marvel de faire un bon film sur les Fantastic Four, étant donné qu'il s'agit de la propriété de super-héros phare de l'entreprise et de la série qui a lancé la bande dessinée de Marvel Silver Age Resurgence en 1961.

La famille de super-héros de Mister Fantastic, The Invisible Woman, The Human Torch and the Thing a une histoire inégale au cinéma, en commençant par un long métrage de 1994 à petit budget qui n'a jamais été officiellement publié (mais est disponible en ligne si vous savez où chercher). Les derniers adaptations à plus grande échelle ne sont pas beaucoup mieux résolus, d'une paire de films réalisés par Story dans les années 00 pré-MCU au redémarrage de «Chronicle» du réalisateur Josh Trank 2015.

Les lecteurs de bandes dessinées ont des normes très particulières – j'ai vu pour la première fois le film de 1994 lors d'une projection non autorisée pleine de fans criant leurs commentaires négatifs – et maintenant que l'équipe est entrée dans l'univers cinématographique Marvel, « The Fantastic Four: First Steps » a la chance de bien faire les choses.

Voici mon point de vue sur la façon dont les cinq films fantastiques se cachent.

5. 'Fantastic Four' (2015)

Une production notoirement troublée qui a été largement modifiée pendant la reprise, la réinimage de la franchise de Trank pourrait être considérée comme une occasion manquée. Mais je ne vois pas comment l'approche initiale de Trank aurait jamais eu du sens pour ces personnages, qui sont définis par leur optimisme héroïque et leur solidarité. Trank transforme l'histoire d'origine de l'équipe en horreur du corps sombre, faisant leurs pouvoirs en malédictions.

Trank et les différents scénaristes donnent aux personnages des histoires absurdement sombres, faisant même de la concurstie «It's Clobberin 'Time» de la chose dans une devise d'abus. Stars Miles Teller, Kate Mara, Michael B. Jordan et Jamie Bell semblent tous complètement perdus, et il n'y a aucun sens de la camaraderie ou même une coopération entre les personnages.

L'histoire horriblement rythmée se déroule presque exclusivement dans les installations scientifiques et militaires faiblement éclairées, se déplaçant à peine à une bataille timide dans ses derniers moments.

4. 'The Fantastic Four' (inédit)

Comme détaillé dans le documentaire «Doomed! L'histoire inédite de The Fantastic Four de Roger Corman», ce film de 1994 a été mis en production uniquement pour que le film de Constantin puisse conserver les droits du film sur les personnages. La légende du film B Corman a engagé sa célèbre ingéniosité pour produire un film à petit budget qui imite une échelle épique, avec des résultats principalement décevants.

Pourtant, le réalisateur Oley Sassone et les stars Alex Hyde-White, Rebecca Staab, Jay Underwood et Michael Bailey Smith ont mis tout leur effort dans l'aventure au fromage de style samedi matin, et Joseph Culp est facilement le meilleur doctorat docteur à l'écran. Culp apporte la méchanceté shakespearienne grandiose à l'arc de Fantastic Four, bien qu'il soit entouré de décors et de costumes de Chintzy, et des effets spéciaux encore pires.

L'histoire est terne et prend trop de temps pour donner aux personnages leurs pouvoirs, mais le film est un rappel semi-sensible de l'époque où les films de super-héros étaient des outsiders sous-financés.

3. 'Fantastic Four: Rise of the Silver Surfer'

Le deuxième film mettant en vedette Ioan Gruffudd, Jessica Alba, Chris Evans et Michael Chiklis obtient quelques choses correctement, y compris un ton maladroit et optimiste et une version étrange du surfeur d'argent (joué physiquement par Doug Jones et exprimé par Laurence Fishburne).

Sa version du méchant déviant la planète Galactus est cependant un buste, choisissant de représenter le personnage de bande dessinée distinctement conçu comme un nuage amorphe de poussière d'espace. Le retour de Julian McMahon en tant que docteur Doom ne va nulle part, et il y a un gadget de commutation de puissance tout aussi inutile parmi les quatre principaux super-héros.

L'accent mis sur le mariage imminent de Reed Richards de Gruffudd et de la tempête de Sue d'Alba se traduit par des hijinks de style sitcom douloureux, et la narration précipitée ne transmet jamais les enjeux de fin de fin de Galactus. La seule chose plus horrible que la menace de Galactus est la perruque horrible qu'Alba est obligée de porter, qui est emblématique de l'approche Slapdash du film.

2. 'Fantastic Four' (2005)

La première aventure pour l'incarnation des années 00 de l'équipe est légèrement meilleure, grâce au vrai sens de la menace que McMahon apporte au docteur Doom. Il n'est pas aussi explosif que Joseph Culp, mais il est plus insidieusement dangereux, repensé comme un magnat technologique plutôt que comme un monarque étranger.

L'histoire d'origine souvent résolue de l'équipe est un gâchis, cependant, et y compris Doom dans le cadre de celui-ci ne fait que miner son autorité et son influence. Au moment où il apparaît comme un véritable méchant, l'intrigue a perdu la majeure partie de son élan.

Les querelles entre Johnny Storm d'Evans et Ben Grimm de Chiklis sont plus mesquinées que charmantes, et la version d'Evans de Johnny en tant que congé sur les sports extrêmes se distingue à peine de la résurrection de la bouche grossière du personnage dans «Deadpool & Wolverine». Les références de culture pop datées n'aident pas, bien qu'elles puissent être amusantes, un peu comme le film lui-même.

1. 'The Fantastic Four: First-Steps'

Je pourrais faire valoir que le fait d'être le meilleur film fantastique de quatre est un standard assez bas à atteindre, mais « First Steps » est un film divertissant à lui seul, et le seul film Fantastic Four à capturer l'émerveillement Whiz-Bang des meilleurs bandes dessinées fantastiques de quatre fantastiques. Il profite également des ressources substantielles de l'univers cinématographique Marvel pour offrir une saga de science-fiction qui est à la hauteur des aventures de l'équipe sur la page.

Pedro Pascal, Vanessa Kirby, Joseph Quinn et Ebon Moss-Bachrach sont les premiers quatre fantastiques à vraiment se présenter comme une famille, et cela rend les émotions au cœur de l'histoire plus significatives.

Le cadre rétro-futuristique alternatif permet à l'histoire de se dérouler selon ses propres termes, loin de l'encombrement du MCU. Peut-être qu'il n'y a pas encore eu de super film fantastique de quatre fantastiques, mais au moins maintenant il y en a un bon.